Economisons l’eau pour les générations prochaines

Dans nos maisons, nous consommons en moyenne 150 litres d’eau potable et payante par personne et par jour. Nous pouvons utiliser l’eau de pluie, de forage, de source ou de rivière qui est gratuite pour tous les postes tels que le lave-linge, le lave-vaisselle, le jardin, le lavage divers, la douche, la cuisson et la boisson!

L’utilisation de l’eau potable dans les WC est une hérésie : il faut, au moins pire, utiliser de l’eau non potable ou au mieux adopter les toilettes sèches… L’eau du réseau n’est généralement pas dangereuse mais de qualité très insuffisante pour une bonne santé, nous pouvons en améliorer l’efficacité.

L’état encourage la récupération des eaux de pluie sous forme de crédit d’impôts, de prêt bancaire à taux zéro et de la tva à taux réduit.

Que trouvons-nous dans l’eau potable des réseaux :

  • les molécules H2O
  • des nitrates
  • des métaux lourds
  • des pesticides, herbicides (atrazine…)
  • du chlore et ses dérivés, les trihalométanes
  • de l’aluminium (sulfate d’alumine des stations d’épuration)
  • des bactéries (les bonnes et les pathogènes)
  • des virus
  • des sels dissous (les minéraux)
  • des traces de radio activité ou sous forme d’information
  • des molécules médicamenteuses et chimiques (ex: hormones, antibiotiques…)

N’hésitez pas à consulter notre catalogue pour acquérir notre matériel

Nos prestations

  • Le stockage

    Cuves hors-sol ou enterrées, principalement en béton. Dans le cas ou un engin de levage conséquent n’a pas l’accès on utilise des cuves en polypropylène qui sont plus légères. Le béton des cuves rééquilibre le PH acide de l’eau de pluie, les cuves possèdent un pré-filtre pour les poussières, les feuilles, une évacuation lors du trop plein et un anti-rongeur. L’ancrage de la cuve est nécessaire en présence de nappe phréatique peu profonde. Il faut ensuite pomper l’eau de la cuve pour mettre le réseau en pression.

  • Le traitement de l’eau

    Filtration par cartouche, traitement du tartre, purification par osmose, stérilisation par UV et la dynamisation de l’eau.
    En fonction des critères de l’eau et de son utilisation finale, nous utiliserons différentes techniques.

  • La filtration par cartouche

    Filtres à sédiments pour les matières en suspensions (1µ à 25µ), filtres à charbon actif pour supprimer les molécules chimiques, les métaux lourds et empêcher le développement bactérien responsable des mauvaises odeurs.

  • Traitement du tartre

    Anti-tartre écologique empêchant la transformation et la fixation des minéraux de calcium en tartre ; c’est un procédé de désincrustation, sans modification chimique de l’eau, sans ajout de matières premières comme le sel et autonettoyant. Efficace pour une dureté inférieure à 35tH, au-delà il faut un adoucisseur.

  • Purification par osmose

    On parle de purification lorsque l’on filtre en dessous de 1 micron (Purification par Osmose inverse : 0,0001 micron). La totalité des polluants chimiques, les nitrates, le chlore et ses dérivés, les substances organiques, les bactéries, les particules, les sédiments, les métaux lourds, les minéraux dissous sont éliminés. Ce procédé très efficace est réservé à l’eau de boisson et de cuisson en raison du faible rendement et de la consommation d’eau rejetée (3L pour 1L d’eau pure)

  • Stérilisation par UV

    La stérilisation aux UV est réservée aux eaux présentant une instabilité bactérienne comme l’eau de pluie et l’eau issue de forage. Il existe d’autres procédés : le traitement UV est le plus simple à mettre en œuvre et le moins onéreux.

  • Dynamisation de l’eau

    L’eau a une forme de mémoire, lors de son parcours en milieu naturel elle se charge en énergie avec un certain taux de vibrations, mais une fois captée pour être distribuée jusqu’à notre robinet elle perd cette énergie au contact des métaux des canalisations. Les cellules du corps humain ont besoin de cette eau dynamisée, chargée d’énergie avec le taux de vibrations qui permettent l’excellente hydratation de nos cellules.

Par ces différents traitements, nous pourrons éliminer suivant les besoins :

  • Les boues
  • Les sédiments
  • Les molécules chimiques ( pesticides, herbicides, nitrates, trihalométhanes… )
  • Les matières minérales
  • Les métaux lourds
  • Les mauvais goûts et les odeurs
  • Les risques sanitaires liés aux bactéries, kystes, virus…